Une histoire très étrange...

Non non pas de présentation comme dans toutes (ou presque) les fictions. Vous découvrirez les personnages tout au long de l'histoire. La fiction date d'une semaine à peine donc j'écrirais la suite au fur et à mesure. Je veux vraiment que vous commentiez cet écrit, car je doit savoir si le début plaît ou non, pour continuer d'écrire ou arrêter. Maintenant place à la fiction et bonne lecture.




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Je scrute l’horloge, comme à mon habitude. Il est 16h15 et le soleil brille intensément dehors, je regarde par la fenêtre, les enfants jouent dans la ruelle, les oiseaux chantent et ma mère ramasse le linge qui a séché toute l’après midi. Je suis assise sur le vieux fauteuil qui se trouve dans le coin le plus sombre du salon, j’ai le regard vide et des cernes sous les yeux. Ma mère franchie la porte avec la panière à linge sous le bras, elle me regarde tristement puis soupir. Je ne bouge pas, je la regarde monter les escaliers.
Elle revient vers moi et s’assoie sur le canapé, elle me regarde, ouvre la bouche puis se décide à parler.
-Chérie, je sais que c’est dur pour toi, je ne vais pas te dire de te remettre à courir dans les rues gaiement. Mais fait un effort retourne dans ta chambre et va finir de préparer tes cartons. Ce soir tu devras te coucher plus tôt que la veille… Demain matin les déménageurs arrivent, il faut que tu soit prête à l’heure.
Elle a les cheveux mi-longs, un regard envoûtant dans lequel des larmes commencent à se former. Je l’observe tristement, il y a à peine une semaine elle souriait, elle était pleine de joie de vivre et à cause de moi elle se renferme. Je ne l’avais jamais vu comme ça avant ce fameux mardi 8 avril. Nous sommes le 16 avril, et mon chagrin ne cesse d’augmenter chaque jour.
Je pose mes jambe par terre, je soupir profondément, puis je prends appuie sur mes deux jambes, j’avance d’un pas incertain et je monte dans ma chambre. Elle est très lumineuse à comparer du salon, une armoire loge en face de mon lit double, mes peluches et mes vêtements sont éparpillés un peu partout sur le sol. Je prends un carton et y glisse mes affaires. Une photo tombe d’une de mes vestes, je la regarde avec haine. Mon père est assis sur une chaise, moi je suis sur ses genoux, ma sœur est à ma droite, ma mère a ses mains sur les épaules de son mari. Je froisse la photo puis la déchire pour enfin la jeter à la poubelle. Je me lève et me couche pour m’endormir jusqu’au levé du soleil.
Je me réveille lentement à 6h00 du matin, je me lève et prends les vêtements qu’il reste dans l’armoire. Une fois prête, j’aide les déménageurs à remplir le camion. C’est mon deuxième déménagement et sûrement pas le dernier.

*Quelques jours après avoir déballé les cartons et après m’être inscrite au lycée*

Le bus scolaire me dépose juste devant l’entrée de l’établissement, je regarde mon emploi du temps pour savoir dans qu’elle salle me rendre. Il y a d’inscrit ‘‘salle 207 ’’, je monte donc dans ma classe, je m’installe à une table seule sous les regards des mes camarades. Le règlement intérieur m’est distribué, quelques consignes me sont rappelées, le cours débute en silence et se termine de la même manière qu’il avait commencé. Je sors de la salle pour sortir en récréation. Une fille assez jolie me tapote l’épaule.
-Excuse moi mais il me semble qu’on ne s’est encore jamais vu auparavant. Tu arrives d’où ?
Elle me sourie gentiment, je la regarde puis lui réponds.
-J’arrive de New York, j’ai habité là bas pendant 5 ans.
-Tu arrives de loin, rigola-t-elle, tu as quel âge ?
Sa question me mit mal à l’aise, je chercher une excuse pour ne pas y répondre mais elle insista.
-J’ai … 16 ans et toi ?
-Moi je vais en avoir 17 le mois prochain. Si tu veux tu peux rester avec moi…, elle se stoppa puis me regarda.
-Ha oui pardon, moi c’est Ashley.
-Enchantée, sourit-elle, moi c’est Marie. Tu peux rester avec moi si tu le souhaite, Jessica et Morgane seront ravies de t’accueillir parmi nous.
Je bafouilla.
-Je.. Jessica et Morgane ?
-Oui, elles font parties du groupe de pom-pom-girl tout comme moi. Et ont seraient ravies de t’avoir parmi nous.
-Je… je vais y réfléchir, attends moi un instant s’il te plaît.
Je me dirige en sueur vers les toilettes puis ouvre mon sac pour en sortir une bouteille pleine. Je bus le contenu avant de ressortir des toilettes.
-Voilà c’est bon, j’accepte ta proposition, souriais-je.
-Parfait, tu fais officiellement partie du groupe.
Elle aussi elle a ce quelque chose que les autres n’ont pas dans les yeux, tout comme moi, une lueur d’espoir… Je plissa les yeux lorsqu’on sorti dehors, je remarqua qu’elle fit de même. On s’assit sur un banc puis on se regarda droit dans les yeux, elle compris enfin qui j’étais. Je souris de satisfaction, puis elle m’enlaça tout en me réconfortant.
-Tout va bien aller ma chérie tu verras, je serais près de toi quoi qu’il arrive. Et pas la peine de me demander si je sais ce qu’il t’ai arrivé car je sais tout !

Superbe début hâte de voir la suite ^^

La suite, la suite, la suiteuuh

La suite !

On attends tous la suite avec impatience

Voilà la suite, je suis désolée de ne pas l'avoir mise plus tôt, mais je n'ai plus trop le temps d'écrire. La suite vient d'être faite, alors il est possible qu'il y ai des incohérences ou des fautes, n'hésitez pas à me le faire savoir. De plus elle n'est pas très longue Si vous avez des questions sur la fiction n'hésitez surtout pas à me les poser. Je serai ravie d'y répondre ou non Bonne lecture.


J’avais étrangement envi de pleurer mais cela m’était impossible. Le soleil m’éblouissait de plus belle alors je regarda Marie et lui fit signe de rentrer à l’intérieur du bâtiment.
Elle me suivit de près tout en surveillant mes arrières, un peu comme une mère l’aurai fait pour son enfant. Ce geste me toucha, je souris de plus belle, jusqu’à ce qu’un coup à l’épaule me fasse sursauter. Je leva les yeux et je pu apercevoir une immense silhouette, je secoua la tête vigoureusement car celle-ci me faisait mal. Un homme, grand, blond avec des yeux noisettes me regardait fixement. Il me parut familier, ce regard je le connais mais je ne me souviens plus à qui il appartient…
-Excuse moi, j’étais dans mes pensées, je ne t’ai pas vu je suis vraiment désolé.
-Ne t’en fait pas tout va bien, lui di-je avec un gros sourire.
-On se connaît ?
-Ton visage m’est familier mais j’ai du mal à y mettre un nom.
-Mathéo, je voyage beaucoup alors il est possible qu’on se soit déjà rencontré.
-Moi c’est Ashley.
Ce prénom résonnait dans ma tête, je chercher où j’avais bien pu le voir. Je regarda Marie et je lança :
-Un confrère ?
Il me regarda dans les yeux puis partit en courant.
-J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?
-En quelque sorte, Mathéo est un homme très renfermé, dès qu’on touche le point sensible il fui. Il a toujours été comme ça.
-Tu le connais depuis longtemps ?
-Assez pour te dire de ne plus lui reposer ce genre de question. Il se cache dans le sous-sol du lycée si tu veux allez le voir.
-Merci pour ces renseignements.
On assista au cours de la matinée puis on arriva au self pour déjeuner.
Une fois installées, Marie et moi on sorti une grosse bouteille, une où on ne voit jamais le contenu car le plastique de la bouteille ne le permet pas. On but tout d’un seul trait.

J'aime bien la suite est courte à lire & passionnante, envie de tout lire

Merci

J'aime beaucoup la suite , j'ai hâte de lire le prochain ^^

Quelques gouttes de sueurs pouvaient se lire sur notre visage, mais elles disparurent en très peu de temps. Je n’avais jamais imaginé ma rentrée de cette manière, j’aurais cru qu’elle aurait été plus dure, plus complexe mais en réalité Marie était celle que j’espérais rencontrer. Je m’absenta une grande partie du déjeuner pour allez voir Mathéo. Je parcourut le sous-sol de long en large puis je le trouva enfin. Il se tenait droit comme un i derrière une porte, un garrot à l’avant bras, une seringue dans sa main droite et deux autres personnes étaient derrière lui. Il m’était difficile d’identifier ces deux autres personnes car la lumière était éteinte. Je m’approcha silencieusement mais affolé de Mathéo, je le regarda puis je cria après lui.
-Mais qu’est ce que tu fais ? Tu te drogues ? Et depuis quand ? Il est peut être possible d’arrêter… Et pourquoi fais-tu cela ? C’est pour ça que tu te caches ?
Il me prit le bras et m’avança vers lui pour me faire lire le flacon de ce fameux liquide qui n’allait pas tarder à parcourir ses veines. Je sourie puis je l’embrassa sur la joue en lui ébouriffant les cheveux.
-Je trouve fascinant ce que tu fais pour toi mais aussi pour tout le monde. Je devrais peut être essayer. J’ai déjà beaucoup de mal à me contrôler.
-Si tu souhaites y essayer, il n’y a pas de problème. Je serais ravie de t’aider. Mais en retour j’exige un silence absolu.
J’acquiesça avec un large sourire.
-Parfais alors dès que tu seras prête tu me le feras savoir.
Il me regardait avec insistance, il se lécha les lèvres lentement. C’est un tic chez lui, il ne s’en rend pas compte, mais j’adore lorsqu’il le fait, sa lui donne un tout autre visage. Déjà qu’il a un visage d’ange, imaginez lorsque sa langue parcoure ses lèvres. J’en avais des frissons rien qu’à le regarder. Je m’avança vers les deux silhouette inconnue, deux hommes, très grand avec une corpulence des plus impressionnante. Je n’en avais jamais rencontré d’aussi musclés. Ils ont un regard profond et effrayant. Je regarda Mathéo une dernière fois puis j’alla retrouver Marie.
-Ha tu es là… Où étais-tu passé ?
-Je suis allez voir Mathéo au sous-sol, comme tu me l’a indiqué.
-Il y a de l’amouuuuur dans l’air ?
-Non j’y suis allez et j’ai vu… *tu lui a juré le silence* personne. Je l’ai cherché mais malheureusement il n’était pas là.
-Je vois… Sa lui arrive de disparaître sans qu’on sache vraiment où il est passé. Tient en parlant du loup le voilà.
Il venait dans notre direction, avec une mine des plus radieuses, un pas plein d’assurance.
-Oublie le ma chère… Aucune fille de semble lui plaire, à croire qu’il aime être seul, me dit-elle à l’oreille.
-Ashley tu es là ! Sa te dirais que je t’accompagne chez toi ce soir ?
-Oui pourquoi pas.
Je regardais Marie avec un large sourire.
-Ne t’inquiète pas pour moi, lui dis-je tout bas.
La sonnerie de 14h00 retentit. Je me rendit en mathématiques à tout allure suivit de près par Marie. Une fille assez mince s’assit à mes côtés, son corps m’appelait, j’en avais envi. Mais je luttais de toutes mes forces, j’étais en sueur. Marie me regardait du bout de la salle avec un regard inquiet. Elle me dit de rester calme, de ne pas céder et de ne surtout pas m’affoler. Quand vint la fin de la journée j’étais soulagée de pouvoir enfin rentrer chez moi, je scrutais les alentours mais Mathéo n’était pas là. J’entamais donc le chemin pour prendre mon bus, une fois installée, une vague de chaleur m’envahit. Je regardais à côté de moi et à ma plus grande surprise, ce siège qui était vide il y a à peine cinq minutes, était occupé par Mathéo.

" Une fille assez mince s’assit à mes côtés, son corps m’appelait, j’en avais envi " Euh, elle aime Mathéo ou la fille ?
J'adore le nouveau passage