[Fiction]A l'ombre de leurs vies !

.::. Titre : A l'ombre de leurs vies
.::. Genre: Fantastique
.::. Personnages : Elle et Eux
.::. Warnings (Chose qui peuvent alrtyer) : Peut-être action violente Wink

A l'ombre de leurs vies !

Chapitre 1 :

Toujours la même chose, elle était assise là. Seule devant cette écran incolore. Sombre. L’aiguille de la pendule au-dessus de cette vieille porte tournait encore, avec du mal mais elle avançait encore entre les barres et les chiffres.
Les volets clots retenaient les rayons du soleil dehors, l’obscurité vivait dans la pièce. Une pièce presque vide, de vie et de meubles, ainsi que de couleurs. Une table, deux chaises, un fauteuil et une télévision posaient dans la pièce.
Dehors, les oiseaux chantaient la joie non vivante de cette pièce. Le soleil éclairait dehors. Mais elle, elle restait là, seule assise sur ce fauteuil. Elle attendait que le soleil rejoinge son lit. Pour elle, sortir du sien. Dans une heure, elle serait libre. Elle entendit un grognement et un grattage à sa portée. Un grognement qui aurait fait fuir n’importe quel mortel. Un grognement sourd digne d’un animal féroce. D’une cruauté et d’une force surnaturel. Mais elle, elle s’avança. Elle se calla sur le coin de la porte et ouvrit cette dernière. Le monstre rentra dans la pièce. On aurait pu le confondre à un loup-garou, mais s’était simplement un loup. Non pas un loup ordinaire. C’était son loup. Cette bête n’était pas un loup tout craintif, non c’était une créature redoutable. Sa taille était digne d’un chien tel qu’un danois et sa force celle d’une créature incnnue. Il avançait. Il prit simplement place à côté du fauteuil. Son poil couleur noir charbon était hirsute. Ses yeux d’un jaune doré réflétait dans l’obsurité. Sa langue pendant entre ses crocs accérés tel des rasoirs. Ces pattes, énorme soit t’elles, étaient au repos sur le sol. Elle lui sourit. Le loup, tel l’appèleront nous, aboya silencieusement.
Le soleil disparut une demi-heure plus tard. Il était temps. Elle sortit de sa maison, le loup à ses côtés. Sa langue toujours pendante. Elle courut jusqu’à l’entrée de la forêt voisine et siffla légèrement. Un bruit de sabot lourd s’entendait au loin. Un hénéissement puissant se fit entendre. On apperçut rapidement la silhouette d’un splendide étalon noir. L’animal arriva à ses côtés. Tout comme le loup, il n’était pas normal. Il était d’un noir corbeau, un poil luisant et ferme. Sa longue crinière couleur feu descendait le long de son encolure. Il levait la tête haute, plein de fierté. Ces yeux étaient d’un rouge innimaginable, remplit eux aussi de haine. Elle lui déposa une selle sur le dos et l’enfourcha. Elle le lança au galop. Tous les trois, il traversèrent la fôret .